Le Phare lance une nouvelle campagne publicitaire avec Clenche, soulignant l’impact des dons pour les enfants ens soins palliatifs et leur famille. Avec l’aide d’Ariane Moffatt et Spark Foundry, la campagne montre comment la générosité de la communauté illumine la vie des enfants que Le Phare accompagne.
Le Phare accueille Jérémy comme un membre de la famille, offrant à ses parents le soutien nécessaire pour prendre soin d’eux-mêmes.
Des mamans endeuillées, unies par la perte de leurs enfants, trouvent réconfort et soutien au Phare. Leur connexion profonde transcende la peine, offrant un espace sûr où exprimer librement leur douleur. Grâce à des services financés par des dons, ces parents trouvent un chemin vers la lumière malgré la perte insurmontable.
Dans le cadre de la journée internationale des maladies rares, deux mamans du Phare ont accepté de partager un brin de leur réalité. Découvrez le témoignage de Édith, maman de Félix-Antoine, atteint du syndrome de Hunter et celui de Karine, maman d’Eliot, atteint d’une encéphalopathie dégénérative.
En tant qu’infirmière au Phare, Véronique crée des liens avec les enfants et les familles, offrant un répit précieux. Sa présence bienveillante apaise les pressions liées à la maladie, faisant du Phare un refuge vital pour ces familles.
Florence partage sa peine et ses souvenirs précieux de sa soeur Juliette, trouvant du réconfort dans les ateliers du Phare.
Le Phare accompagne les familles face à l’inattendu et leur offre un soutien essentiel dans les moments sombres.
Tamara est une figure maternelle au Phare, prenant soin des enfants qu’elle accompagne comme sa propre famille. Elle incarne depuis 2008 la mission essentielle du Phare, soutenant les parents dans le besoin et créant un lieu de confiance.
Julien, infirmier au Phare, accompagne les familles, offrant compétence et bienveillance pour soulager les besoins aigus de leurs enfants.
Juliette a vécu presque 8 ans sans diagnostic précis, sauf une atteinte neurologique importante. Juliette, c’était une petite fille de 4 mois dans un corps d’une grande fille affligée par la maladie. À 4 ans, après une pneumonie sévère, pour la toute première fois, l’équipe extraordinaire de Ste-Justine nous parle de la transférer en soins palliatifs. On était rendu là, là où aucun parent ne veut se retrouver.